Oyez, oyez, braves gens.
Ici, et pour vous aujourd'huy, seront présenté les personnages illustres qui composent l'équipage du capitaisne Bartholomew Roberts !
A commencer par le capitaine lui-même :
L'équipage :
Le capitaine
Bartholomew John Roberts, noble corsaire angloys, est le maître à bord. Il est relativement jeune, et est toujours vêtu éleguemment. Il a de bonnes manières, est toujours rasé de près, et s'exprime très théâtralement.
Il écrit beaucoup : poésies, journaux de bord... Et joue, pour le plus grand désarroi de l'équipage, du violon.
C'est un bon capitaine, à la fois autoritaire et à l'écoute de ses hommes, près à les mener à la fortune... ... comme à la ruine, mais toujours dans l'aventure. C'est un homme sévère mais juste.
On peut le voir sur cette gravure le sabre au poing, certainement en train de régler à l'amiable une affaire d'argent. Passons.
Walter Watt, mais tout le monde l'appelle Walter, est le fidèle second du capitaine. C'est un marin bon et serviable, très appliqué et sérieux.
Il est issu des meilleures écoles navales d'Angleterre, et a toujours rêvé d'avoir un poste sur un navire du Roi.
Henry Allen est le cartographe du navire. Il est assez dérangé, pour ne pas dire complètement dingue. Il a un peu viré pirate, à cause de ses années passées en mer...
Allen est très bon dans sa discipline, c'est même un cartographe hors-pair, mais il dessine souvent les cartes d'îles n'existant pas, y indiquant parfois des trésors enfouis...
Jack Surrender est le maître pilote du navire. Il sait prendre le vent comme un chef, en tirant le meilleur profit. Il connait beaucoup d'astuces pour distancer un navire, ou le rattraper.
Il n'est en revanche pas très futé, et dispose de peu de vocabulaire, comme "merde" ou "à boire".
Il parle assez peu, mais toujours distinctement, et avec un étrange accent...
Stanley McBarton, plus connu sous le nom de Stan, est le maître-coq du vaisseau.
C'est un petit homme trapu, et fort sympatique. Il cuisine tout et n'importe quoi, accomodant à merveille le serpent ou la baleine, voire le kangourou, la mygale velue ou encore la perruche huppée à col cendré du Yucatan.
Pour lui, dans un abordage ou à l'exploration, tout est prétexte à la mangeaille, et il veut toujours faire goûter à l'équipage ses dernières créations culinaires.
Le lieutenant
William Rogers, dit "le lieutenant", est le chef canonnier.
Il est issu d'une grande famille de Londres, et intégra la Royal Navy dès son plus jeune âge.
C'est un militaire borné, jovial et strict, mais un ami sur qui on peut compter, et qui n'a qu'un parole. Il ne jure que sur son honneur, et accomplit à chaque tir de canon une prouesse de balistique et de précision.
Le docteur
Edgar H. Williamson est le chirurgien du bord. Il est aussi un très bon botaniste, et un zoologue doué, ces trois métiers ne faisant en général qu'un à l'époque.
C'est un bourgeois londonien et gentleman de qualité. Il se découvre dès qu'il entre quelque part, ne jure jamais, est très soigneux de ses outils. Un médecin modèle, mais parfois, assez maladroit...
Pablo Esteban Guzman, espagnol et fier et l'être ! On l'appelle plutôt "Pato" Guzman.
Il sert en tant que tonnelier, et Dieu sait si il en faut ! Il réalise en véritable artiste les fûts et barriques destinés à recevoir moult breuvages, achetés ou pillés.
Il est assez enrobé, très théâtral, et traîne derrière sa voix grave et rauque, un épais accent espagnol qui fait sourire tout le monde.
Antoine Jason de Rupertre est un passager. On dit de lui qu'il est écrivain et poète, et que c'est pour ça que le capitaine l'a accepté à bord.
Aucune image de lui n'est disponible, car personne ne le voit jamais. Il est, d'après le capitaine, un captaine français très bon, et très brillant, mais en proie au désarroi. Il a une cabine privée où pesonne ne pénetre jamais. On dit qu'il sort la nuit, uniquement, et déclame ses poèmes à la lune...
Georges est le perroquet du capitaine. On a longtemps cru que Barth parlait out seul. En fait, non.
C'est, à en croire ce dernier, un volatile extrêment intelligent. Il rayonne de ses couleurs attrayantes, et amuse l'équipage, leur permettant d'oublier la faim ou la peur.
Barth s'amuse, comme n'importe quel capitaine, à lui apprendre des phrases, comme "Du rhuuum ! Ark !" ou encore "Tronche de moule ! Arrk !".
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