Live fast, Die old - Reportage sur Motörhead

Mais puisque vous êtes si désireux d'en savoir plus sur mes projets, voilà le dernier en date rien que pour vous.

Ca s'appellera : Fous moi l'temps des Cathédrales.

L'histoire : le curé de la cathédrale forme des centaines de jeunes garçons pour son plaisir personnel et pour obtenir le Contrôle. Il tient enfermée l'héroïne dans le clocher (mon actrice de 17 balais qui est belle comme le jour), normal...elle est belle et à l'orée de la vie donc c'est forcément Satan (croit-il ce qu'il raconte d'ailleurs ? Faudra que je développe cet aspect). Evidemment ça la fait gerber et elle dégueule en bas (la chanson qui sera chantée pendant ce moment est magnifique). Le splash avertit les gens en dessous .... Les agents du roi démocrate qui est un copain du curé et qui ne fait que vendre des baskets et des portables (Contrôle), ce lorsqu'il ne satisfait pas son Ego démesuré en s'exhibant continuellement sous des monceaux de richesse et avec sa reine devenue trop artificielle pour être vraiment belle ...mais il y aussi la Libératrice, une authentique belle femme brune et vêtue de noir, qui se balade en moto et dont justement le principal passe-temps est de fracasser lesdits agents à coups de chaîne en écoutant du rock'n'roll. Intriguée par ce dégueulis, elle rameute ça et là une bande...un écrivain drogué et homosexuel qui lui explique le Contrôle, un autre qui est alcoolique, boxeur-boxé au dernier degré et passe son temps à dire des insanités, voir avec son coeur et à vouloir la sauter (ce qui arrive une ou deux fois mais elle s'en fout, garçons, filles, c'est bon à prendre ), des amatrices de plantes semi-elfes avec leurs potes lutins cracheurs de feu...

Et finalement, aidée par les lutins, toute la bande crache du feu sur la porte de la cathédrale après avoir fracassé les agents du roi, vendeurs de baskets, gaspilleurs de papier, prophète des faux-rêves et de la fausse-vie, et pléthore de nuisibles...
Libère les jeunes garçons qui découvrent la liberté en même temps que le jour, peuvent enfin choisir autre chose qu'une homosexualité religieuse forçée avec un vieux saligaud (ie. homosexualité voulue, hétérosexualité, bisexualité...36 15 "fais ta vie"...hors de toute mode ou contrainte), pendent le curé par les couilles et libèrent la jeune héroïne....

Orgie finale, tous âges et toute la ville se révolte sur l'air final de "Jouissez sans entraves", orgasmes multiples dont les vibrations ébranlent puis finalement font s'écrouler la cathédrale puis successivement d'autres bâtiments : prisons, mosquées, agences d'intérim, banques, bureaux administratifs, bureaux de "créatifs"....

Voilà....

Un projet futur ?

Oui, une superproduction qui s'appellerait "Tolkien je t'encule toi et tes nains qui baisent jamais".

*Prend son air de critique*

Vraiment parfait, je vois dans les prémices de cette oeuvre une critique constructive de notre univers déconstructiviste qui parle autant aux couilles qu'aux ovaires. Chapeau bas monsieur !!

ha bah putain !