Censure ! Censure !
Un mot qui souffle dans mon coeur !
Rien de plus beau, en ce malheur !
Censure ! Censure !
C'est comme un râle d'agonie,
Sous une odeur de vomi !
Censure ! Censure !
Il y a tant de pauvres gens,
Qui en prennent plein les dents !
Censure ! Censure !
Les voilà qui veulent du pain,
Frappons les donc des deux mains !
(hého, hého... on retourne au bistrot...
)