.:: Poésie ::.

Bien joué !
Oh que la Guerre est belle...( dit un emperruqué..)

Je me répète,mais bravo..C'est bien au dessus de ce que je fais moi-même..
En voici un exemple,le seul à ce jour...


J'ai rêvé d'un cheval
Oui,d'un cheval.
Quel noble animal
Qui jamais sans raison ne nous fera du mal

Un cheval noir,
Un étalon,une flamme noire.
Fier,de haute taille,
Pour préserver sa liberté,il semble prêt à livrer bataille.

Il a une seule tache blanche,
Le cheval qui maintenant galope dans les pervenches.
Une seule tache blanche sur son front,
Entre deux yeux perpetuellement doux et bons.

Devant moi,il s'arrête.
Nul ne sait ce qu'il a derrière la tête.
Et dans l'air frais du soir,
J'entends un mot,son nom:Espoir...."

C'est chouette !! Un bon début, ma chère moitié...
J'aime bien cette simplicité, on lit ça sans prise de tête...
Et on y retrouve votre amour immodéré pour les chevaux et l'équitation...
J'aime...


(Remplacer les bulles par des coeurs...! )

immodéré..n'éxagérons pas..
Disons simplement que je suis une vraie passionnée..

Je passe mon tour, moi et la poésie sa fait ... (il compte sur ses doigt) euuu... 4 environ

Anne Mary voila un début très prometteur...
J'ai hate d'en lire d'autre

Je ne sais pas pourquoi les filles aiment tant les chevaux...
Quoique...

C'est peut être leur côté romanesque, romantique (les princes charmants sont en général des cavaliers...), c'est un animal noble, qui a de la prestance, de la grâce, de la souplesse...
Il fait aussi preuve de puissance, quand il rue ou quand il galope à toute allure...
C'est un animal splendide, romantique et rassurant... N'est-ce pas le rêve de toute jeune fille, un bel étalon...?

Alors ne vous demandez pas pourquoi la gent féminine le préfère à la corneille hirsute de Sibérie !
(Un de mes animaux favoris, soit dit en passant...! Ne la cherchez pas, elle n'existe dans une BD de Donald... Je vous la scannerai à l'occasion... )

Bartholomew Roberts a écrit:

Alors ne vous demandez pas pourquoi la gent féminine le préfère à la corneille hirsute de Sibérie !

VIVE LA CORNEILLE HIRSUTE DE SIBERIE !!!!!!!!! Et surtout : Haa RRRRisss Buurrrrg GUE GUE GUE GUE...

Mais tu fais bien d'en parler !! Sache que la corneille hirsute de Sibérie, est en fait un pigeon.
Mais, un pigeon soumis à une force de radiation nucléaire gamma (la plus forte... Eh oui, alpha : une feuille de papier l'arrête, bêta : un feuille d'aluminium l'arrête, mais gamma... Il faut quelques centimètres de cuivre ! Si, si ! ) !!
La corneille hirsute n'existait pas avant qu'un banal pigeon aie fait son nid sur le toit de la centrale de Tchernobyl !!!
Je vous laisse imaginer la suite....

Je vous montrerai sa tête, vous comprendrez mieux...

(Et aussi la tête de sa cousine, la perruche huppée à col cendré, un moineau originaire de Sellafield, au Royaume-Uni.... )

CHAIN REACTIOOOON !! AND MUTAAATION !!!
RA DI OOO ACTIVITTYYYYY !!!

Ma Douce, si tu aimes tant les chevaux, je t'offre ces lignes...
...c'est ma bague de fillancailles !
Ou plutôt, mon bouquet de fleurs, si tu trouve que c'est un peu prématuré...



"Toi, l’étalon maudit,
Le chevaucheur du néant,
Trotte le jour, galope la nuit,
Le ciel sera ton océan,

Qu’on t’idolâtre, pour ta beauté,
Pour ton allure, je peux comprendre,
Mais toi, animal de liberté,
On ne peux pas te capturer, te prendre

Ta liberté : elle est sacrée !
Te capturer, quelle folie !
Et te tuer, ô bête de souplesse,
C’est anéantir la Vie,
Détruire toute Sagesse !

Fuis, cours plus vite encore !
Car au nom d’une course, ou pour ta viande,
L’homme a beau t’aimer, il ne veut que ta mort !
Cours ! Galope ! La liberté te le demande…

Toi, l’étalon maudit,
Le chevaucheur du néant,
Trotte le jour, galope la nuit,
Vers l'éternité et le firmament..."



Bartholomew Roberts, le Cavalier Egaré...



...et pur-sang gallois, s'il vous plait !
Mais attention à la ruade.

Bon allez je me lance.dans la Poésie animalière..

A Toi mon chien, le plus fidèle ami de l’arbre
Oh toi mon Toutou tu es mon Tout
Quand tu lèves ta patte c est pour pisser
Quand tu aboies c est pour ne pas parler

Oh toi mon Toutou
Au regard si Doux

comme je suis inspiré par ma voisine de pallier :

La Vache

Comme elle est belle noire et blanche
Comme des notes de musique dans un pré..
Une Noire, Une Blanche

Elle me regarde passé
Elle nous regarde passé
Elle regarde le train de la Vie

Noiraude comme une émeraude
La vache est pataude

Tu nous donnes le Lait
Dont on fait le Camembert
Sacrée Vache quel Dessert !

Bravo les gars !!
Maintenant je vais avoir l'air d'un con quand je vais poster !!


Non, sinon c'est vraiment drôle... Le Rat, j'avais pas pas fait le rapprochement !!!
Et Rick, tes poèmes...!
Sûr que c'est pas de la poésie engagée, mais alors c'est chouettte !!! Drôle et beau !

J'y pense, Tréviso... Je te laisse le faire, c'est ta responsabilité... Pourquoi ne pas mettre un lien ici vers ton excellent forum de poésie....?!
Il a tout à fait sa place dans ce topic....

Merci Barth ..je suis honoré que celà ait pu t amuser.

euh...il y pas de pur-sang gallois,juste des poneys...les poneys Welsh de type A,B et D..

Mon cher Rick t'a poésie est des plus droles et elle est de plus extremement elloquente!!!!!!
Félicitation

Merci Mon Cher Edward et heureux que çà te plaise

J'ai enfin finit d'écrire mon poème....
Voila pourquoi je relance ce sujet qui commençait à dépérire

J'ai écrit ses quelques assis sous un arbre, dans un verger, au fin fond de la meuse...

Mon arbre,

Toi Ô symbole de sagesse,
La carrure de ton grand tronc noueux nous inspire la noblesse,
De par tes grandes branches qui plient sous le vent,
Tu nous fournis la fraîcheur et la tranquillité d’un couvent,

La douce herbe verte, sous le soleil de printemps, paresse,
Et tes longues et tortueuses racines caresse,
Tes multiples bras sont là, s’opposants,
A toutes les pensées et au temps,

Toi Ô symbole de puissance,
Tu t’impose à nous avec une déconcertante aisance,
Ton écorce à était lentement marquée,
Par la langueur des dures siècles passés,

Jamais de Toi la vieillesse n’eue raison,
Bien que tu t’élève sur cette Terre depuis de nombreuses saisons
Tu ne plia jamais sous l’assaut des éléments,
Que se soit sous la pluie battante ou sous le vent mordant,

Toi Ô symbole de fertilité souveraine,
Tu enfonce tes larges racine dans les galeries souterraines,
Tu t’accroche à la Terre avec autant de force,
Qu’une une jeune femme à sa nuit de noce,

Tu impose ta suprême autorité,
A tous tes congénères moins âgés,
Tu resplendis en ce monde sombre,
Car de tes vertes feuilles tu balayes l’ombre.

Hier étant d'humeur mossade j'ai écrit ceci:

Mon amour, tu occupes toutes mes pensées,
Tu es ma seule raison d’exister,
A l’idée que tu me haïsse ; je me sens mortifier,
Car depuis de nombreuse années,
Mon triste cœur à chavirer,
A la vue de ton inégalable beauté,
Tel un navire sur les brisant acérées

Tu es ma muse , ma source de créativité,
Tu hante mes pas et toutes mes idée,
Un mot de Toi et j’obéirais,
Car tu es ma raison d’exister,

Au travers de ces quelques vers,
Je t’es clamer mon amour d’aujourd’hui et de naguère,
Donner une réponse à la question si demander,
N’est pourtant pas si compliquer,
Si tu ne m’aimes pas ; qu’il en soit ainsi,
Dit le moi et nous partirons bon ami,

Mais dans l’attente mon cœur se consume,
Ma voix se remplis de tristesse et d’amertume,
Voilà pourquoi, encore maintenant je prends ma plume,
Mes modestes vers symbole de mon infortune.

Rédigé à 3h00 du matin, alors que quelques flocons commencaient à tomber...

La lune m'intrigue, opaline,
Confidente des artistes,
Mon coeur gonfle sous ses rayons tristes,
Et se fissure et s'abîme

Peinture dans la voûte celeste,
Figée, fière et narquoise,
Elle souffle, tousse et peste,
Un râle, une lame turquoise

Elle m'inflige ses rayons dans la nuit,
Ils me transpercent et me culbutent,
Elle me tue et dans une sombre volute,
Part au loin et s'évanouit

Elle me nargue, cette ovale personne
Qui me ruine de ses nuages de laine,
Et j'observe ses contours, et m'étonne,
Les éclairs barrent un "je t'aime"

Le demoiselle, là-haut perchée,
Surplombe, domine les étoiles,
Usant des nuages comme d'un voile,
Pour cacher sa troublante beauté

La lune, opaline, m'intrigue,
Elle, guerrière apatride,
M'impose ses rayons acides,
Sa terre est son ciel, et mon sang l'irrigue

Elle me tue de ne pas m'aimer,
La vaillante qui voit tout,
La voyante aux mille hiboux,
Cette ronde lune, impossible à décrocher

Je me repète cet adage,
Voyant la lune te ressember,
Et de mon coeur se sustenter,
Cette grande femme a ton visage.

Salutations, Ô vous qui êtes favoris des muses,

Et de la musique engagée, pourquoi pas ?

Sur le pont de l'Estrella de la Mañana, nous écoutons Miguel, qui réjouit nos coeurs ce soir alors que la mer est bien agitée ...

http://hussonet.free.fr

Bien cordialemenbt,
Jean de Pourrières