VOTRE DERNIER FILM ?

Idem que Fantch, j'voulais pas jouer à un concours verbal quelconque, juste préciser l'effet que m'a fait le film, quoi.

Et non, Arland, pas eu besoin de recherche. Pour un petit historien en herbe comme moi, surtout passionné par l'Antiquité, la bataille des Thermopyles, c'est un peu comme le débarquement de Normandie en frais d'importance.

Le pauvre monsieur Heston, s'il avait été seulement un tantinet moins bigot et conservateur, il l'aurait vu par lui-même le côté homo de la scène dans laquelle il tournait. Ça reste un bon moment de franche rigolade, surtout bien des années après, quand on l'voit en Reaganiste fanatique.


Autrement, j'me suis régalé d'un film allemand "Le Sang des Templiers", une espèce de production ultra-fauchée qui ne s'assume pas, avec un héros adolescent au charisme... euh... relatif.

Oui, oui, c'est lui le descendant des deux branches des Templiers qui auraient survécu jusqu'à nos jours en se cachant dans des bunkers de 2km² en plein centre-ville...

M'enfin, un bon moment de rigolade. Le scénario est ridicule et on ne croit pas une seule seconde aux combats. Un bon moment, quoi.

Titre original: Das Blut der Templer

Ha ha les vidéos CHarlton ..MDRR Fantch !

Siegfried..j’ai bien aimé V pour Vendetta..

http://www.copeau.org/index.php?2006/12/10/718-v-pour-vendetta

Citation : V incarne la vérité, la résistance et l'individualisme, une forme d'idéalisme politique étroitement mêlée à des pulsions vengeresses." Ce mélange d'anarchisme, de foi en la justice et d'individualisme (ce dernier aspect est pratiquement toujours occulté ou mésestimé) renvoit bien évidemment aux fondements mêmes du libertarianisme.

Citation :

J'aime pas la culture, moi, de toute manière... J'aime que la connerie... Laughing Laughing Laughing

Et la Grappa.

Bah non, Treviso, c'est juste que tu préfères l'Irlandais à l'Australien et j'dois admettre que t'as sacrément bon goût sur ce plan, sans ambiguité aucune. (Camille, ne détourne pas ce propos!)

Sinon, j'préfère quand même la ST de Master & Commander à celle de The New World. Pour le reste, les deux films ne se comparent pas, m'est avis. J'vois pas vraiment TNW comme un film de guerre, contrairement au premier. Bons films tous les deux.

J'devrais vous donner mes impressions sur Grindhouse, le nouveau "double-film" (?!) de Tarantino et Rodriguez! Suffit que j'me trouve quelques heures, quelques dollars et une âme assez dérangée pour apprécier ce film à sa juste valeur, comme moi.

http://en.wikipedia.org/wiki/Grindhouse_%28film%29

C'est sorti en Europe?

Tarantino a écrit:

During the time Planet Terror began to come together, Tarantino developed the story of Death Proof. Tarantino was fascinated by the way stuntmen would "death-proof" their cars so they can be driven headfirst into a brick wall at 60 mph and still protect the driver—as long as he's in the driver's seat. This inspired Tarantino to create a slasher film featuring a deranged stuntman who stalks and murders sexy young women with his "death-proof" car.[5] Tarantino remembers, "I realized I couldn't do a straight slasher film, because with the exception of women-in-prison films, there is no other genre quite as rigid. And if you break that up, you aren't really doing it anymore. It's inorganic, so I realized—let me take the structure of a slasher film and just do what I do. My version is going to be fucked up and disjointed, but it seemingly uses the structure of a slasher film, hopefully against you."

Et encore:

Citation :

Originally, Rodriguez and Tarantino had planned to make all of the film's fake trailers themselves. According to Rodriguez, "We had so many ideas for trailers. I made Machete. I shot lobby cards and the poster and cut the trailer and sent it to Quentin, and he just flipped out because it looked so vintage and so real. He started showing it around to Eli Roth and to Edgar Wright, and they said, 'Can we do a trailer? We have an idea for a trailer!' We were like, 'Hey, let them shoot it. If we don't get around to shooting ours, we'll put theirs in the movie. If theirs comes out really great, we'll put it in the movie to have some variety.' Then Rob Zombie came up to me in October at the Scream Awards and said, 'I have a trailer: Werewolf Women of the SS.' I said, 'Say no more. Go shoot it. You got me.'"

J'adooooooooooooooooooooooooooooooooooooooore Rob Zombie. Un trailer de sa part, ça ne peut être que... D'ailleurs, vu le nom du trailer, y'a p'têtre Fantchou dedans.

*Bave*

Werewolf Women of the SS : réalisé par Rob Zombie ( the devil's rejects)

C'est pas possible autrement ! Cette vieille salope de Lespinasse est passée par là !

Le lien Wiki est : http://fr.wikipedia.org/wiki/Grindhouse

J'ai regardé sur Wikipédia France et l'article est traduit mais apparamment, ce n'est pas encore arrivé chez nous... Et puis, les producteurs ont décidé de scinder le film, chez nous, selon l'article wikipédien... A suivre...

Pietro-Luigi De Treviso a écrit:

Werewolf Women of the SS :

Tiens donc, voilà qui est amusant.....un vibrant hommage du chanteur de White Zombie (musique classique, mais il a aussi réalisé un excellent film d'horreur : La maison aux Mille Morts) aux productions érotico-nazies des années 70, çitons dans les productions françaises :

-Christina dans l'enfer nazi
-Train du plaisir pour Hitler
.......jusqu'à Portier de Nuit....

Et surtout le célèbre film d'une longue série, érotico-sadique, avec Diane Thorne, opulente et dominatrice blondasse :

Ilsa, She Wolf of The SS (paru en français sous : Ilsa la Louve des SS...il ya eu aussi Ilsa, Tigresse du Goulag, etc...)


Pietro (et les autres aussi): Dans la série des réçentes sorties "engagées", je te conseille d'aller à l'Utopia du coin et de voir le dernier film de Pierre Carles, Volem Rien Foutre Al Païs...réflexion inconoclaste sur la société et le monde du travail, qui suit Attention, Danger Travail ! de ses potes Stéphane Goxe et Christophe Coelho (pas Paulo hein ! ), que je te conseille de voir en premier, disponible en vidéo par correspondance (google) ou dans les lieux alternatifs de Lyon s'il y en a encore...

Mc'Skorley a écrit:

Camille, ne détourne pas ce propos!

Treviso a écrit:

Et si ça peut te rassurer, on n'pourra pas éviter une intervention de cette chère Guerezenn Laughing Laughing Laughing ... Bah... c'est si bon de tendre le baton pour se faire battre... Surtout quand la main qui tient le batton est de la teneur de celle de Guerezenn...

Je ne m'abaisserai meme pas a reagir...

quoique, en fait si:

Francois Lespinasse a écrit:

Pietro (et les autres aussi): Dans la série des réçentes sorties "engagées", je te conseille d'aller à l'Utopia du coin et de voir le dernier film de Pierre Carles, Volem Rien Foutre Al Païs...réflexion inconoclaste sur la société et le monde du travail, qui suit Attention, Danger Travail ! de ses potes Stéphane Goxe et Christophe Coelho (pas Paulo hein ! ), que je te conseille de voir en premier, disponible en vidéo par correspondance (google) ou dans les lieux alternatifs de Lyon s'il y en a encore...

Je crois que des amis de Tarare, et donc parmi eux ce cher Albert, l'ont projeté un jour... Je devrais donc pouvoir le trouver.

A Trevis,

quelle merveille que les invasions barbares, surtout après avoir vu le premier: du cul, des théories d'universitaire plutôt séduisantes, des relations humaines, encore du cul, un peu d'amour et des séparations.

Mais avec les invasions, que de l'émotion, des larmes et le taux d'adrénaline qui défonce le compteur. Des années que je n'avait point chialer au ciné. Un pur condenser de vie avec ces aléas qui retourne les tripes !

J'ADORE !

Dans le genre dramatique mais où rien ne vient relever le morale, je recommande vivement 21 grammes, ou pour ceux qui préfère un brin d'espoir Volver est un pur chef d'oeuvre.
Désoler j'aime conseiller de bon films, mais je déteste en parler de peur de dévoiler la moindre scène.

Magnifique VOLVER et comment résister à de tels yeux..

https://servimg.com/view/11192400/2

million dollar baby est excellent mais traine un peu trop en longueur je trouve

The Hawk is Dying, film de Julian Goldberger d'après un roman de Harry Crews, écrivain contemporain du Sud des Etats-unis.....ce soir à la Cinémathèque de Toulouse dans le cadre du festival Extrême-Cinéma-Mondo Bizarro".

Je sais vous vous en foutez mais ca fait longtemps que je n'avais vu un film aussi beau et poignant. J'en ai chialé.

Malheureusement, quoique primé au Sundance, ce film ne sera certainement pas diffusé en France......je dis pas ça par snobisme de privilégié mais parce que je trouve ça fort dommage pour ceuss' qui ne l'ont pas vu.

En tout cas je vais me jeter dans la lecture de cet auteur fort particulier...sorte de Jérome Bosch de la littérature, un monde solitaire, Sud des States dégénéré, mystique, noir, rural....et tellement beau.

Santé ! J'vous enjoins de faire de même......

Francois Lespinasse a écrit:

plein de trucs interessants, mais a zappe le principal

De quoi donc qu'il cause, ce film "beau et poignant"? Dis-nous en un peu plus!

J'étais en train de rédiger et avais pondu un bon pavé lorsqu'une fausse manip' m'a fait tout perdre ! Les boules !!!!!!
"Cent fois sur le métier...."...... j'réécris :

J'ai hier longuement discuté avec Maxime Lachaud qui est un mec très sympa (le pote d'un pote en fait) et qui connaît Harry Crews, a écrit sa thèse sur lui, a tourné un peu avec Goldberger...et donc a présenté le film.

Bien que primé au Sundance, le second film de Julian Goldberger n'a connu qu'un "succès d'estime" (autrement dit peu de succès ! ) et a même été décrié.....voilà pourquoi il a très peu de chances d'être rediffusé alors qu'il le mérite amplement.....y'a qu'à la Cinémathèque de Toulouse qu'on a la chance de voir de telles perles.

Quant à Harry Crews, comme je vous le disais, il vient d'un bled paumé du Sud pauvre des Etats-Unis, Gainesville, près des marais frontaliers avec la Louisiane. Né en 1935, a vécu dans une ferme, ni électricité ni eau courante, de ces fermes caractérisant ce Sud, distantes entre elles de plusieurs dizaines de kilomètres...où le soleil tape fort et où la solitude est pregnante....engendrant un caractère dégénéré et brutal de ceux qui sont isolés, façe aux éléments. Apparemment, même la religion y prend un caractère sombre, dégénéré, avec aux intersections des routes des panneaux représentant des crucifixions sombres, comportant des versets de l'Apocalypse, empreints de souffrance et de culpabilité....Venant d'un milieu pauvre et isolé, Crews a appris à lire avec le seul livre disponible, la Bible, puis a lu d'autres chose lorsqu'il s'est engagé dans les Marines.
Beaucoup de ses personnages sont obsessionnels, ce qui en fait des Artistes en puissance.....brutaux, cruels......mais aussi empreints d'un certain mysticisme qui n'est pas forcément religieux, je développerai ça dans le paragraphe sur le film.

Il est à noter que The Hawk is Dying est très empreint de la vie personnelle de Crews, qui élève des faucons et a perdu son fils, sous ses yeux, par noyade...d'où une culpabilité chassée, magnifiée par une obsession transcendante.

The hawk is dying :

George Gattling est un quarantenaire middle-class (donc le Sud pas si pauvre, inhabituel pour un récit de Crews), patron d'une petite boîte d'habillage de voitures vers Gainesville, bled pouilleux de Georgie.
Son pote Billy Bob, sa soeur Precious et mère d'un gamin (18-20 ans, grand le gamin) autiste, Fred, qui passe son temps à fumer des clopes, boire du whisky et s'exprime en mots courts, elliptiques, poétiques, francs et renfermant une masse de sentiments et pensées.....
Georges a élevé Fred, on voit tout de suite qu'entre-eux il y a une relation fusionnelle.
Georges veut dresser un faucon depuis des années, c'est son obsession, c'est aussi sa promesse faite à son neveu Fred. Trois faucons sont déjà morts de faim, tentatives ratées de dressage, mais Gattling veut aller jusqu'au bout, réussir à enfin en dresser un...et les deux partent dans les marais, les forêts pour capturer un faucon, longues balades où Georges parle, avec nostalgie, des différentes tribus (Séminoles, etc...) disparues...."Ici il y avait un lac...ils vivaient au bord du lac....maintenant il y a la forêt et en dessous des pompes à eau....et ils appellent ça "parc naturel" !"...........les deux capturent un splendide faucon.
Georges va souvent se confier à Betty, étudiante en psycho mais aussi prostituée qui fume de l'herbe dans son bhông à drapeau sudiste (!), il lui parle de fauconnerie, du rôle des faucons dans l'ancienne Babylone et dans l'humanité ("un faucon qu'on ne peut dresser est gardien du secret inviolable de la mort"...d'après-moi cette phrase a toute son importance dans le film).....il parle aussi à Betty de Fred, laquelle brûle de faire sa connaissance, prête à l'accepter tel qu'il est....
Donc, à première vue, on pourrait considérer Georges Gattling comme une sorte de taré obsessionnel pas dangereux.

Lors d'une fête de Noël, George (puis Precious), décide de faire se rencontrer Fred et Betty, "Il est temps que Fred connaisse une femme"..pendant que l'oncle et la mère seront à la soirée.
Cette soirée est cruciale.
Deux narrations :
- Un taxidermiste bourré, autre obsessionnel donc pote de Georges : discussion entre deux "confrères, comme des alchimistes qui parlent du sens de la vie, après lui avoir dit que le "Grand-Duc est complètement stupide" ( ça a son importance, le hibou, symbole de sagesse comme on avait appris à Georges à l'école, est finalement un animal con : voilà qui résume son rejet des valeurs admises) lui parle de symbiose avec l'animal, de confrontation avec sa propre lâcheté, que tous ne réalisent pas, d'identification, de ne pas manger ni dormir tant que le faucon ne l'a pas fait, etc......quelque chose de très "mystique", symbiotique : "tu auras réussi lorqu'il viendra manger dans ta main".....
On voit aussi que Gattling est assez à contre-courant, rejeté de la communauté locale, considéré comme un excentrique, un cruel tueur de faucons.....

-pendant ce temps-là, Fred et Betty "communiquent", contemplent le faucon, se contemplent......Fred ne dit qu'un mot "love"....ce moment est indescriptible.....acceptation totale.....je peux pas en dire plus, c'est beau, triste, barré, magnifique, de l'amour pur...(j'ai vécu ça lorsque j'étais vraiment beaucoup plus jeune....un truc énorme).


Le lendemain Fred meurt par noyade. On ne sait rien, c'est complètement mystérieux....un suicide ? (trop plein d'amour : "on peut mourir après avoir connu ça"...c'est ce que j'ai ressenti)
Et là tout s'enchaîne, George "pète les plombs", de tristesse, d'amour, et débute la révélation, la quête de sens, la quête qu'il s'est attribuée : dresser le faucon, pour lui, pour Fred, son neveu mais quasiment son fils.

A partir de là TOUT LE MONDE se comporte avec lui comme avec un malade mental (c'est un mec avec qui on a discuté qui souligne ça, il a travailllé en milieu psychiatrique). Il fuit avec son faucon, voulant le dresser.
Tout le monde le cherche, le déconsidère, sauf Betty qui l'accompagne.
C'est là une chose à souligner car chez Crews il y a souvent la figure de la prostituée comme "compagnon du héros", compagnon mais aussi révélateur......
Entre les visions de Georges, sa quête purificatrice, il ne dort plus et ne mange plus tant que le faucon ne l'a pas fait......le faucon ne pourrait être qu'une représentation d'un sens de la vie, agissons par raisonnement contraire : si "un faucon qu'on ne peut dresser est gardien du secret inviolable de la mort", d'après-moi le faucon dressé est la révélation brute et simple du sens de la vie, de cette confrontation avec ce qui nous dépasse, l'élément brut de la nature....en même temps que l'acte d'amour paternel de Georges avec Fred....c'est une quête de sens. Mais Georges ne semble pas le savoir consciemment, il le RESSENT plutôt...car c'est un film de sensations, de feeling....et voilà pourquoi je vous parle de mysticisme a-religieux.
Et même si à première vue Gattling semble un loser, un obsessionnel barré, je n'ai pu m'empêcher de m'identifier à lui.
Je ne vous raconte pas tout car j'espère que vous le verrez un jour.

En tout cas c'est un putain de film !!!!!! Un film d'Amour et de Vie, de la relation avec la Nature brute et cruelle qui n'a de sens qu'en elle-même, et de la relation avec l'Autre.

D'accord, ca peut paraître un peu confus, mais j'ai essayé de décrire avec mes mots.

Voilà.

Treviz' je suis persuadé que toi et Albert devriez le voir, parce qu'il vous concerne entièrement en tant que Poètes Sauvages.

J'avais oublié, d'après Maxime, les écrits de Crews sont beaucoup plus sombres, écrivain "à la Jérome Bosch"...d'où les mots de "religion dégénérée, sombre" ), plus brutaux et teintés d'humour noir.
Sans avoir trahi Crews, le film de Golberger en est une interprétation magistrale (sans parler de la musique composée pour içelui ). Y'a plus qu'à lire du Crews......
Aussi d'après Maxime, je me suis empressé d'écrire un message de félicitations et de remerciements au réalisateur Julian Goldberger.....message qu'il transmettra...à noter aussi que Max va sortir un bouquin sur Crews, à surveiller donc.

Putain les amis, mes deux seuls films vus à la Cinémathèque auront été de grands moments.....

Bien tenté prochainement d aller voir :

Sunshine SF.

une critique aVoir-aLire.com de Frédéric Mignard :
D'une beauté rare. D'une limpidité visuelle éclatante. D'une perfection esthétique bouleversante (...) il mérite amplement sa place au panthéon de la science-fiction aux côtés de 2001, l'odyssée de l'espace et de Solaris (...) Absolument bluffant !
et une autre critique : [Danny Boyle] est allé voir du côté des classiques avec 2001, l'Odyssée de l'espace de Kubrick, Solaris de Tarkovski ou encore Alien de Ridley Scott. Son aventure, à suspense, se révèle également très métaphysique.

Vu..et jamais le Soleil d'aussi près..c est indéniable mieux vaut porter des lunettes..
Belles images en tous cas , très bon Film de SF..

Petit bémol, la recette Hollywoodienne du Sacrifice pour sauver l’Humanité est omniprésente..( genre Bruce Willis qui fait sauter un Astéroïde l’air de rien..facile.., ou le Film mission to Mars de Brian de palma avec l’excellent Gary Sinise..)

M’enfin les amateurs de SF seront comblés..

Je suis perdu dans toutes ces références de film que je ne connais que de nom. tanpis je vais aller me matter ce soir au ciné "Les vacances de Mr. Bean". En étant sous effet divers biensur ! Je ne suis pas fou au point de vouloir débourser 7€ pour aller voir un navet sans me taper quelques bonnes barres.

EXCELLENTES NOUVELLES

Max a transmis ma lettre de remerciements-félicitations au réalisateur Julian Goldberger.....
Je viens de recevoir un mail de la production du film....ils vont m'envoyer une copie-DVD de Hawk is dying !!
Et le film sera diffusé en France un peu avant l'été !

Nom de dieu !!! J'suis bouleversé.....
En tout cas il y en a avec qui je vais pouvoir partager ça !!

J'suis encore sous le coup là.......